• La pizza conviviale

     

    Depuis quelques mois, c'est la mode des soleils en pâte feuilletée, voici la version pizza !

    Pour cela rien de bien compliqué, il vous faut :

    • 1 pâte à pizza rectangulaire (si vous avez du temps, c'est meilleur fait maison ! :))
    • du concentré de tomates
    • du jambon, des champignons frais et de la mozzarella ou votre garniture préférée
    • un jaune d’œuf
    • poivre, sel et épices du Grand St-Bernard ;)

     

    Étapes :

    •  coupez la pâte en rectangles 
    • garnissez chacun d'eux de concentré et de tout ce que vous souhaitez y mettre ;)) sans oublier les épices !
    • refermez-les en faisant des petites boules et déposez-les côte à côte, sans trop les coller, dans un moule à gâteau recouvert de papier sulfurisé
    • badigeonnez le tout avec le jaune d’œuf, ajoutez à nouveau quelques épices
    • enfournez 25 minutes à 200°

     

    Pour déguster, chacun saisit un petit morceau de pizza, ça a un côté très sympa.


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    Si vous aimez avoir peur, c'est LA série récente à ne pas rater !

    Mike Flanagan, s'est inspiré d'un best seller  "La maison hantée" de Shirley Jackson et a à priori complètement transformé l'histoire pour proposer cette série de 10 épisodes, vivement conseillée par Stephen King lui-même !

    L'histoire : les cinq enfants Crain ont passé un été dans un manoir censé être rénové par leurs parents pour être revendu ensuite. Ils l'ont quitté précipitamment la nuit où leur mère est morte et trente ans plus tard, ils sont toujours hantés par ce qu'il s'y est passé.

    Pouvoir développer un récit de maison hantée en série plutôt qu'en film permet de s'attacher plus longuement aux personnages, à leur personnalité et aux conséquences de ce qu'ils ont vécu lors de cet été. Le réalisateur utilise d'ailleurs intelligemment de nombreux va-et-vient entre le passé et le présent.

    Le succès d'une série tient également, pour une grande part, au casting et, à mes yeux, celui de The haunting of Hill House est particulièrement réussi. Je citerai surtout Henry Thomas (le Eliott de E.T.) en père et mari aimant, mais comme souvent dans ce genre d'histoire, complètement dépassé par la situation, ainsi que tous les jeunes acteurs qui tiennent leur rôle à la perfection.

    Est-ce qu'on a peur ? Oui clairement ! Mais je laisse le soin à S. de vous en parler mieux que moi ! Je dirais juste que le réalisateur est très doué pour placer en arrière-plan des ombres et des silhouettes qu'on ne voit pas toujours et qui rajoutent un petit plus. Il a aussi glissé quelques clins d’œil pour les spectateurs avertis comme cette lunch box avec les personnages de E.T. dessus :)

    Quelques épisodes trainent un peu en longueur, mais sur une durée de 50 minutes, on peut le pardonner. Par contre, la fin est quelque peu décevante, un peu embrouillée et n'expliquant pas tout, c'est dommage. Mais à priori, c'est justement parce que tout n'est pas résolu sur l'origine du mal dans le dernier épisode qu'une saison 2 serait envisagée. Le succès remporté par la série sera aussi, à mon avis, un élément décisif.

    Ma note : 5,5/6

    K.

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    K vous a presque déjà tout dit, je vais essayer de compléter ! :) Selon moi le ton est donné dès les premières secondes du magnifique générique.

    Comme dans ses précédentes réalisations (The Mirror, Ouija : les origines, Ne t'endors pas...), Mike Flanagan n'use pas d'effets spéciaux spectaculaires et à outrance, mais crée une ambiance angoissante à l'ancienne en nous livrant entre autre un travail soigné de l'image.

    En plus de fantômes cachés dans les arrières-plans, il s'amuse à révéler quelques indices qui ne prennent toute leur saveur qu'une fois la série entièrement terminée, offrant ainsi de l'intérêt à un deuxième visionnage. A l'instar de Shirley, qui pendant un sommeil agité, révèle une pièce du puzzle final dès les premiers épisodes.

    Le montage est habilement mené entre les différentes époques et personnages afin de plonger le spectateur dans une immersion totale et le tenir en haleine.

    The Haunting of Hill House est une série anxiogène certes, mais également émouvante. En toile de fond, il y est question d'une famille qui perd pied.

    S.


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  • Plusieurs personnes nous ont questionné sur les démarches à accomplir, les choses à ne surtout pas oublier, le bon moment pour prendre la décision...

    Il est difficile de donner des conseils en matière d'année sabbatique car chaque trajectoire est différente. Pour être honnête avec vous, c'est une décision qu'on a prise assez rapidement, en moins d'un mois.

    Le seul vrai impératif, étant donné que durant une année, il n'y aura plus d'entrée d'argent, c'est d'avoir mis de côté suffisamment.  Premier contact donc: sa banque. Il est nécessaire de calculer combien vous avez dépensé les douze derniers mois et vous calquer plus ou moins sur cette somme pour le budget de votre année sabbatique.

    La deuxième chose, c'est de se fixer des objectifs et un planning pour ne pas perdre pied avec la réalité et rendre cette année constructive. Pour cela, il peut être utile d'établir une liste d'envies qu'on n'a jamais eu le temps de réaliser, tout en étant bien sûr cohérent avec ses finances.

    A noter qu'en Suisse, il faut souscrire à une assurance accident, qui normalement est prise en charge par l'employeur. On est aussi tenu de s'acquitter du minimum AVS.

    Enfin année sabbatique rime pour beaucoup avec horizons lointains mais ce n'est pas une condition sine qua non loin de là, elle vous appartient et c'est à vous de l'inventer !

     

    K & S


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  • Depuis leur mise en circulation en 2016, nous n'avions pas encore eu l'occasion de tester les fameuses Smartshuttles de Sion. C'est désormais chose faite !

    Sans conducteur, ces navettes intelligentes et 100% électriques peuvent transporter jusqu'à 11 personnes et rouler jusqu'à 20km/h. Le but de ce projet est de tester si l'introduction de navettes autonomes dans l'espace public est réalisable d'un point de vue technique et opérationnel.

     

    Smartshuttle

     

    Le confort est certes un peu spartiate mais nous avons apprécié l'innovation et le côté convivial. En effet, dans ces petites navettes, les barrières sociales semblent s'estomper. On y retrouve un métissage des nationalités et des générations, tout le monde discute avec tout le monde, l'accompagnateur y compris. Ce dernier est là pour assurer la sécurité des passagers car même si le véhicule freine immédiatement en cas d'obstacle, l'accompagnateur peut le stopper à tout moment.

    Ces deux navettes autonomes sont d'ores et déjà célèbres puisqu'elles sont les premières au monde à desservir une gare !

    Elles déambulent tranquillement selon deux itinéraires et semblent prendre le contrepied de cette société ou tout nous pousse toujours à aller plus vite.  

     

    K & S


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